dimanche 24 mai 2009

cartas...O resto é silêncio



...Ah, que suis lasse de cette immobilité qui m’enracine à ma peine.

Je vous parle sans cesse mais l’écho court moins vite que votre cheval,

sinon monseigneur, vous auriez pu écouter enfin cette malheureuse

qui vous pleure.

Ai Mondego, suis-le mon prince père heureux mais si absent,

quand finira-t-il de chasser

Insouciant du danger que j’encours d’être ainsi ,

corps offert aux chiens du Roi ?!!!

Inez, Paris, Juin 1997